samedi 6 octobre 2012

Caïds

Lyon, 6 octobre 2012

vendredi 5 octobre 2012

Trzesniewski

Vienne (Autriche), 3 octobre 2012

jeudi 4 octobre 2012

Austrian way of life

Wolkersdorf (Autriche), 1er octobre 2012

mercredi 3 octobre 2012

Passerelles (65)

Café Bräunerhof,
Vienne (Autriche), 29 mai 1988

Café Bräunerhof,
Vienne (Autriche), 3 octobre 2012

Stephansplatz



Vienne (Autriche), 3 octobre 2012

mardi 2 octobre 2012

Paysages intermédiaires (35)

entre Vienne et Wolkersdorf (Autriche), 1er octobre 2012

lundi 1 octobre 2012

Passerelles (64)

 Zabriskie Point,
Death Valley (NV), mars 1992

Hofgartenstraße,
Wolkersdorf (Autriche), 1er octobre 2012

Amériques (48)

 Los Angeles (CA), novembre 2008

Los Angeles (CA), novembre 2008

dimanche 30 septembre 2012

Amériques (47)


Parmi les tout premiers livres qui m'ont donné envie de faire (vraiment) des photos, il y a eu, au début des années 80, la série des petits volumes "Écrit sur l'image" aux Éditions de l'Étoile, avec en premier lieu la Correspondance new-yorkaise et le Le désert américain de Raymond Depardon (mais aussi l'été dans le "Deep South" de Gilles Mora). Un peu plus tard, et dans un registre graphique différent, il y a eu le Written in the West de Wim Wenders et ses errances pré-"Paris, Texas". Et beaucoup d'autres ensuite comme bien sûr Robert Frank et ses Américains, la découverte de Louis Faurer et de Saul Leiter, William Eggleston et Stephen Shore, avec une mention particulière pour The road to Reno d'Inge Morath.
À chaque fois, des visions de l'Amérique dans lesquelles je me sentais d'une certaine façon "comme à la maison" et qui, en retour, revenaient en filigrane dans mes propres images. J'ai presque commencé ce blog avec la question de la poule et de l'œuf du regard photographique, en particulier dans des lieux aussi chargés symboliquement que les USA, et j'y suis revenu plusieurs fois (cf. ici ou ).
On pourrait aussi prendre prétexte de cette singularité (multiple quand même) de l'américanité pour interroger le format, la couleur par rapport au noir et blanc, etc. Depardon n'a, me semble-t-il, jamais photographié l'Amérique en couleurs, ni Faurer ni Frank (?), alors que c'est en Amérique que Doisneau est allé chercher une colorisation qu'on ne lui connaît pas dans ses photos parisiennes. À l'inverse, Leiter est synonyme de couleurs et, lorsqu'on publie de l'Eggleston en n&b, on prend soin de le préciser. Wenders (par exemple dans "Une fois") oscille entre les deux, souvent plus narratif en n&b, davantage contemplatif et silencieux en couleurs.
Autant d'Amériques avec lesquelles et dans lesquelles on ne se lasse pas de voyager, roulant, marchant, photographiant…

Amériques (46)

 San Diego (CA), janvier 2008

San Diego (CA), janvier 2008

Amériques (45)

  Los Angeles (CA), novembre 2008

San Diego (CA), janvier 2008

Amériques (44)

  Los Angeles (CA), novembre 2008

 Los Angeles (CA), novembre 2008

Amériques (43)

  Los Angeles (CA), novembre 2008

 Los Angeles (CA), novembre 2008

Amériques (42)

 Los Angeles (CA), novembre 2008

 Los Angeles (CA), novembre 2008