vendredi 13 juillet 2012

Arrêt sur image


7 commentaires:

  1. Non non non, il n'en est pas question !! Ce serait trop facile et en plus, inélégant à la veille de... l'été (?).

    Disons, à la limite, qu'il s'agit de vacances bien méritées (?) de réorienter des activités qui prenaient trop de place, ou encore de faire une pause pour célébrer dans l'allégresse, la joie et la bonne humeur, le 14 juillet ou...

    Je vais finir par ne plus rien avoir à découvrir d'intéressant à un niveau ou à un autre, dans un climat plaisant.

    À la manière de Georges M. "J'élève une vive protestation !!"

    À très bientôt sans faute Patrick !

    RépondreSupprimer
  2. À propos de la photo, j'oubliais...
    Chaque fois, voyant un court de tennis désert à demi délaissé, je pense à M. Duras... du côté des tennis, derrière les jardins du Consul de France à Lahore (je mélange peut-être un peu tout, mais l'esprit y est).
    Alors évidemment ce givre, cette neige me glace encore plus - angoisse. Un court de tennis cryogénisé qui revivra bientôt, quand la température... j'espère que l'on y verra les tenues blanches et que l'on y entendra les rires réprimées des jeunes femmes familières de l'endroit..

    RépondreSupprimer
  3. Patrick, je te souhaite de bonnes vacances, sans doute bien méritées. Cependant, je me permets de te dire à bientôt...

    Philippe C.

    RépondreSupprimer
  4. Pendant un instant j'ai cru à un nouveau(el) "libellés".
    J'ai testé, ce qui m'a renvoyé effectivement à une fin provisoire de cessation d'activité.
    Donc pour compléter les citations à Georges M. je dirais : "C'est un scandâle…
    Nous serons donc patients.

    RépondreSupprimer
  5. J'ai tellement était si bien happé par la photo, que le titre et la légende me sont restés inaperçus. Mais finalement ce n'est que "provisoire", c'est le bon coté des choses, à bientôt Patrick

    RépondreSupprimer
  6. "été" c'est pas l'hiver,vraiment besoin de vacances.

    RépondreSupprimer
  7. Arrêt sur image c'est un titre de jours poisseux dans l'asphalte des villes... Ce qui me frappe dans cette photo, c'est le sol qui laisse voir sa structure. Et le vide glacé qui entoure ce tennis. Aucune chance qu'il ne soit un peu abrité du soleil... On est loin de la terre battue de MD , de l'ombre autour des tennis d'India Song, de la moiteur, de la langueur , des moisissures, des roses qui fânent dans les vases, de la voix de la mendiante...Bon je retourne à ma dévoration de la biographie de MD par Laure Adler, la talentueuse...

    RépondreSupprimer