Là par contre Patrick je m'interroge... Qu'un photographe retourne sur des lieux photographiés 37 ans plus tard, soit. Qu'un photographe mette ses pas dans ceux d'un autre photographe me laisse dubitatif... sauf à jouer, comme Franz, au jeu des différences je ne trouve pas, pour toi, l'intérêt de re-faire exactement donc de copier très exactement.
Peut-être que je passe à côté de quelque chose ? À la limite, un contre-champ pouvait être un clin d'œil plus pertinent...
Le hasard des choses fait que le Franklin Institute (où je devais passer la soirée) est à quelques rues à peine du croisement où Stephen Shore avait jadis pris cette photo que j'aime beaucoup. Et une fois cela noté avant de partir, l'occasion est belle d'aller voir sur place ce qui a/n'a pas changé. Rien de bien plus profond que cela, même si j'aime bien l'idée de renforcer ainsi la singularité d'un lieu banal dont la photo n'est que le témoin.
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
37 ans plus tard, le trottoir a été refait, les arbres ont été abattus, mais la fenêtre du coin de la rue garde toujours son secret.
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RépondreSupprimerQu'un photographe retourne sur des lieux photographiés 37 ans plus tard, soit.
Qu'un photographe mette ses pas dans ceux d'un autre photographe me laisse dubitatif... sauf à jouer, comme Franz, au jeu des différences je ne trouve pas, pour toi, l'intérêt de re-faire exactement donc de copier très exactement.
Peut-être que je passe à côté de quelque chose ? À la limite, un contre-champ pouvait être un clin d'œil plus pertinent...
Le hasard des choses fait que le Franklin Institute (où je devais passer la soirée) est à quelques rues à peine du croisement où Stephen Shore avait jadis pris cette photo que j'aime beaucoup. Et une fois cela noté avant de partir, l'occasion est belle d'aller voir sur place ce qui a/n'a pas changé. Rien de bien plus profond que cela, même si j'aime bien l'idée de renforcer ainsi la singularité d'un lieu banal dont la photo n'est que le témoin.
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