mardi 18 janvier 2011

Passerelles (37)

New York (NY), mars 2005

C'est sur ce marché aux puces de la 27ème rue que, par un dimanche matin froid et venté, j'ai rencontré Caroline Greenblatt. J'y repense en retrouvant par un autre hasard cette photo oubliée.

3 commentaires:

  1. Je viens de lire les commentaires qui suivirent la parution de ta série "Caroline Greenblatt" et je suis ... cherchons un mot courtois...abasourdie par l'absence de distance , ce côté nez-dans-le-guidon, incapacité à saisir qu'il y a un instant de la vie d'une femme derrière ce carnet, une femme nommée Caroline Greenblatt, elle et pas une autre. C'est comme regarder des photographies sans jamais envisager celui qui est derrière.
    Quant à ta photo du jour, elle bénéficie de cette lumière de l'hiver , si particulière. Reste à savoir si tu as pris la "side" ou la "front" door sous l'oeil du petit démon ?

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  2. J'hésitais à revenir sur cette série "Caroline Greenblatt". À l'époque j'avais écrit ce que j'en pensais... le plus grand bien, une émotion palpable à travers ces pages manuscrites, à travers ces confidences et puis j'avais été abasourdi de la bêtise qui émanait de la plupart des commentaires.
    Tu m'offres l'occasion de relire ces commentaires... c'est encore pire aujourd'hui. Venant de la part de personnes qui soi-disant "s'intéressent" (je prends des pincettes !) à la photographie, écrire de telles inepties, être vulgaires à ce point dans leurs appréciations... comment cela se peut-il !?

    Je me demande ce que pourraient écrire ces personnes découvrant aujourd'hui la modestie, la simplicité du lieu où se trouvait ce carnet rempli de messages de vie et d'espoirs à venir... et puis comment ne pas respecter/apprécier sa devise à Caroline, "Essayer sans relâche"... vaste programme ;-)

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  3. mdr ! Il reste des hippies en 2005 ? C'est pas plutôt "yuppies" qu'ils voulaient dire ?! ;-)

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