Tanner/B. Ganz... Alfama, le Tage... Cacilhas de l'autre côté... Si tous se passe bien je serais le 4/5 novembre à Lisbonne. Il faudra monter, descendre sans cesse ces rues, ces trottoirs aux petits pavés blancs rendus glissants de l'humidité de la ville en cette saison. Le soir la liqueur de cerise, la "ginjinha" debout avec les autres devant l'échoppe éponyme, place du Rossio. J'arrête, Lisbonne c'est un peu chez moi...
Je te remercie de cette photo qui montre la ville telle qu'elle est, pas blanche partout, des rails de tramways qui n'existent plus (le 28 continue-t-il de nous monter là-haut jusqu'au castelo Sao Jorge ?), des voitures dans tous les sens.
Ta photo me fait penser à Lisbonne de Jacques Minassian, mais qui se souvient de cela... ? et puis par ses tonalités, cette lumière sur les petits pavés, à Jão Cesar Monteiro qu'M. et moi avions rencontré par ailleurs un dimanche matin carrefour de l'Odéon. Un Lisbonne de gargotes où la lumière n'est pas invitée... le Lisbonne de Pedro Costa aussi, expérience redoutable...
D'un seul coup, deux semaines avant de partir tu me plonges dans mes souvenirs qui remontent tous brutalement à la surface grâce à cette "simple" photo presque anodine où cependant toute la ville est contenue pour celui qui sait l'aimer.
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Lisbonne,
Tanner/B. Ganz... Alfama, le Tage... Cacilhas de l'autre côté... Si tous se passe bien je serais le 4/5 novembre à Lisbonne.
RépondreSupprimerIl faudra monter, descendre sans cesse ces rues, ces trottoirs aux petits pavés blancs rendus glissants de l'humidité de la ville en cette saison.
Le soir la liqueur de cerise, la "ginjinha" debout avec les autres devant l'échoppe éponyme, place du Rossio. J'arrête, Lisbonne c'est un peu chez moi...
Je te remercie de cette photo qui montre la ville telle qu'elle est, pas blanche partout, des rails de tramways qui n'existent plus (le 28 continue-t-il de nous monter là-haut jusqu'au castelo Sao Jorge ?), des voitures dans tous les sens.
Ta photo me fait penser à Lisbonne de Jacques Minassian, mais qui se souvient de cela... ? et puis par ses tonalités, cette lumière sur les petits pavés, à Jão Cesar Monteiro qu'M. et moi avions rencontré par ailleurs un dimanche matin carrefour de l'Odéon. Un Lisbonne de gargotes où la lumière n'est pas invitée... le Lisbonne de Pedro Costa aussi, expérience redoutable...
D'un seul coup, deux semaines avant de partir tu me plonges dans mes souvenirs qui remontent tous brutalement à la surface grâce à cette "simple" photo presque anodine où cependant toute la ville est contenue pour celui qui sait l'aimer.