William Burroughs, par Richard Avedon.
Musée du Jeu de Paume (Paris), le 16 juillet 2008
Dans les expositions et musées français, il est le plus souvent interdit de photographier les dessins mais, par bonheur et pour l'instant du moins, dessiner les photos reste autorisé. Par leur structure minimale (fond blanc, cadre noir apparent, pose frontale du sujet en plan américain), les grands portraits n&b d'Avedon se prêtent sans doute plus que d'autres à l'exercice. Comme souvent, la confrontation "à l'échelle" avec ces images que l'on pense connaître pour les avoir vues et revues en reproduction est une expérience assez fascinante. Mais dessiner debout au milieu des va-et-vients permanents d'une foule assez compacte, on a vu plus confortable.
PS : cherchant un lien vers le portrait original de Burroughs par Avedon, j'ai découvert l'existence d'un petit livre...
Musée du Jeu de Paume (Paris), le 16 juillet 2008
Dans les expositions et musées français, il est le plus souvent interdit de photographier les dessins mais, par bonheur et pour l'instant du moins, dessiner les photos reste autorisé. Par leur structure minimale (fond blanc, cadre noir apparent, pose frontale du sujet en plan américain), les grands portraits n&b d'Avedon se prêtent sans doute plus que d'autres à l'exercice. Comme souvent, la confrontation "à l'échelle" avec ces images que l'on pense connaître pour les avoir vues et revues en reproduction est une expérience assez fascinante. Mais dessiner debout au milieu des va-et-vients permanents d'une foule assez compacte, on a vu plus confortable.
PS : cherchant un lien vers le portrait original de Burroughs par Avedon, j'ai découvert l'existence d'un petit livre...
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