Assez étonnant, et donc pas nécessairement rassurant... Une petite ville de province, pavage sur chaussée et trottoir (en-dessous...la plage ?), un grand calme ou une certaine torpeur, en tout cas peu d'animation, tout se passe derrière des fenêtres fermées. La signalétique est tout de même là et bien là, interdictions de... Une sorte de bac à fleurs pour marquer le virage, un pas-de-porte à louer (désespérément ?). Cependant le village n'est pas interdit aux caravanes ! Aux gens du voyage, si ! (dans le doute, esprit médisant, j'extrapole).
On a l'impression (je devrais-je écrire) que cette photographie n'a pas d'âge, 9 août 2011 ? Le photographe nous mènerait-il en bateau en recyclant une trouvaille récente d'archives qui le sont peu ? Ceci renforcé par un noir et blanc intemporel. En tout cas, si le photographe cherche une boulangerie ouverte il gagnerait du temps en allant s'acheter une "machine à pain" !
Sinon, mise en abyme souvent citée à l'envi, viseur, fenêtre, fenêtres... Une parenthèse estivale.
La Rue d'Urfé est à sens unique. On y trouve un coiffeur ("C dans l'hair"...), un notaire, une mercerie, une agence immobilière, une banque, et même une boulangerie. Si le primeur vient de changer de propriétaire pour la deuxième fois en un an et rouvrira prochainement sous une enseigne pimpante de vert et de blanc, la boucherie semble avoir fermé définitivement, tout comme la boutique d'articles funéraires qui avait remplacé il y a peu une pizzeria et dont le local attend preneur. La photographie peut être trompeuse et le photographe le sait bien. Au bas de la rue, c'est la place centrale et l'animation, entre les terrasses de "L'Oasis", du "Capricorne" et de "L'Hôtel de Londres", la pharmacie, les bazars du "Tuffet Shop" et du "Tennessy", le "Petit Casino", la Poste, la Mairie et la boucherie qui lui fait face. On n'imagine pas, mais le trafic est presque dense et le photographe, garé sommairement pendant que Z. and co. font la queue à l'autre boulangerie, a préféré attendre patiemment que le cadre qu'il a choisi se vide de tout passage pour cliquer. Allez savoir pourquoi... Mais que fait cette caravane en plein centre du village ?
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Assez étonnant, et donc pas nécessairement rassurant...
RépondreSupprimerUne petite ville de province, pavage sur chaussée et trottoir (en-dessous...la plage ?), un grand calme ou une certaine torpeur, en tout cas peu d'animation, tout se passe derrière des fenêtres fermées. La signalétique est tout de même là et bien là, interdictions de... Une sorte de bac à fleurs pour marquer le virage, un pas-de-porte à louer (désespérément ?). Cependant le village n'est pas interdit aux caravanes ! Aux gens du voyage, si ! (dans le doute, esprit médisant, j'extrapole).
On a l'impression (je devrais-je écrire) que cette photographie n'a pas d'âge, 9 août 2011 ? Le photographe nous mènerait-il en bateau en recyclant une trouvaille récente d'archives qui le sont peu ? Ceci renforcé par un noir et blanc intemporel.
En tout cas, si le photographe cherche une boulangerie ouverte il gagnerait du temps en allant s'acheter une "machine à pain" !
Sinon, mise en abyme souvent citée à l'envi, viseur, fenêtre, fenêtres...
Une parenthèse estivale.
La Rue d'Urfé est à sens unique. On y trouve un coiffeur ("C dans l'hair"...), un notaire, une mercerie, une agence immobilière, une banque, et même une boulangerie. Si le primeur vient de changer de propriétaire pour la deuxième fois en un an et rouvrira prochainement sous une enseigne pimpante de vert et de blanc, la boucherie semble avoir fermé définitivement, tout comme la boutique d'articles funéraires qui avait remplacé il y a peu une pizzeria et dont le local attend preneur.
RépondreSupprimerLa photographie peut être trompeuse et le photographe le sait bien. Au bas de la rue, c'est la place centrale et l'animation, entre les terrasses de "L'Oasis", du "Capricorne" et de "L'Hôtel de Londres", la pharmacie, les bazars du "Tuffet Shop" et du "Tennessy", le "Petit Casino", la Poste, la Mairie et la boucherie qui lui fait face. On n'imagine pas, mais le trafic est presque dense et le photographe, garé sommairement pendant que Z. and co. font la queue à l'autre boulangerie, a préféré attendre patiemment que le cadre qu'il a choisi se vide de tout passage pour cliquer. Allez savoir pourquoi...
Mais que fait cette caravane en plein centre du village ?