De 1895 à 1995, soit dans les 100 premières années suivant la naissance du cinématographe, on a pu répertorier à Lyon l'existence de 159 salles de projection, dont 146 ont aujourd'hui disparu. Parmi celles-ci, j'en ai connu (voire fréquenté) presque une trentaine.
En retrouver la trace est un travail de mémoire collective — ce sera l'objet de la série "Désarmement des toboggans" —, mais aussi de mémoire personnelle, sentimentale, égoïste — ce sera du côté de "Vérification de la porte opposée" que cela se passera.
Embarquement immédiat, ici et ici.
En retrouver la trace est un travail de mémoire collective — ce sera l'objet de la série "Désarmement des toboggans" —, mais aussi de mémoire personnelle, sentimentale, égoïste — ce sera du côté de "Vérification de la porte opposée" que cela se passera.
Embarquement immédiat, ici et ici.
Ce n'est pas du bonheur, juste du plaisir d'avoir vu, d'avoir pu profiter de cette époque et de revivre en croisant nos impressions, souvenirs, avec les tiens et ceux des autres aussi, des moments... ces moments-là.
RépondreSupprimerEt l'Aubert Palace, le verra t'on, a t'il résisté ?
RépondreSupprimerPour l'instant, il faudra se contenter de Lyon... Pour un recensement plus général, avec archives, Google street views et tout, il y a par exemple http://sallesdecinemas.blogspot.fr/
SupprimerAvec l'Aubert-Palace ici :
http://sallesdecinemas.blogspot.fr/2009/12/lumiere-paris-9eme.html
Sur ce blog, c'est (et ce sera) un registre un peu différent.