Lyon,
novembre 2005 (?)
Si — comme aurait dit Sacha Guitry dans une formule galvaudée — le silence qui suit Mozart est encore du Mozart, alors l'attente avant d'entrer dans cette salle fait déjà partie du film et de pourquoi on va à ce cinéma.
Un couloir en arrière-cour d'immeubles donnant sur la grande rue, une queue qui, les jours d'affluence, s'étire — parfois sous la pluie — le long d'affiches, de coupures de presse et de photos sous vitrines, la caissière dans sa tourelle en pavés de verre, la distribution du programme des séances à venir au contrôle des tickets.
Bandes-annonces, court-métrage, entracte. Pas de pubs. Et puis le film.
Toujours au troisième rang...
novembre 2005 (?)
Si — comme aurait dit Sacha Guitry dans une formule galvaudée — le silence qui suit Mozart est encore du Mozart, alors l'attente avant d'entrer dans cette salle fait déjà partie du film et de pourquoi on va à ce cinéma.
Un couloir en arrière-cour d'immeubles donnant sur la grande rue, une queue qui, les jours d'affluence, s'étire — parfois sous la pluie — le long d'affiches, de coupures de presse et de photos sous vitrines, la caissière dans sa tourelle en pavés de verre, la distribution du programme des séances à venir au contrôle des tickets.
Bandes-annonces, court-métrage, entracte. Pas de pubs. Et puis le film.
Toujours au troisième rang...
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