Pékin (Chine), 21-22 mars 2015
La quantité doit en être inépuisable, tant l’imagerie Mao se décline encore à profusion sur les étals du Marché aux Puces de Panjiayuan. Parfois bien alignés et présentés sous blister, le plus souvent en vrac et attendant la poussière, les souvenirs du Grand Timonier se ramassent à la pelle, affiches, tracts, statuettes, médailles, pin’s, briquets et photos le disputant aux innombrables et multilingues « petits livres rouges » à la couverture souple dont le plastique fatigué colle un peu.
Ailleurs et plus ironique, c’est au cœur d’un hutong traditionnel que l’on découvrira un Mao Mao Chong, minuscule bar branché comme on pourrait en trouver à Berlin, New York ou Paris — ambiance feutrée et toiles contemporaines aux murs —, où la carte des cocktails propose un Mao-jito !
La quantité doit en être inépuisable, tant l’imagerie Mao se décline encore à profusion sur les étals du Marché aux Puces de Panjiayuan. Parfois bien alignés et présentés sous blister, le plus souvent en vrac et attendant la poussière, les souvenirs du Grand Timonier se ramassent à la pelle, affiches, tracts, statuettes, médailles, pin’s, briquets et photos le disputant aux innombrables et multilingues « petits livres rouges » à la couverture souple dont le plastique fatigué colle un peu.
Ailleurs et plus ironique, c’est au cœur d’un hutong traditionnel que l’on découvrira un Mao Mao Chong, minuscule bar branché comme on pourrait en trouver à Berlin, New York ou Paris — ambiance feutrée et toiles contemporaines aux murs —, où la carte des cocktails propose un Mao-jito !
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