Quand même Patrick tu es dur avec le "petit peuple" ;-) Il faut aller fouiner un peu pour trouver le rapport entre le titre du billet et cette photographie - d'autant plus que tu ne donnes pas d'indices, genre vue globale de l'endroit. Il m'a fallu attendre aujourd'hui, reprendre mes esprits coutumiers, pour ayant accès à la source de tous nos "malheurs", Glouglou ! trouver enfin... Sinon je trouve tes dessins donnant très souvent un très pertinent contrepoint aux photographies (et la peinture sur soie tu sais aussi faire :-) ?)
:-) Initialement, j’avais pensé mettre un texte qui devait commencer comme ceci : « Si, partant de l’Espace 798, on marche vers le Nord en longeant l’autoroute qui conduit à l’aéroport, on arrive à Caochongdi, le quartier populaire dans lequel il faut se confier au hasard pour trouver l’une ou l’autre des galeries qui s’y nichent depuis quelques années sous l’impulsion principale d’Ai Weiwei, son plus célèbre résident. Grands espaces, installations, mais personne à la Galerie Urs Meile (www.galerieursmeil.com) ce jour-là. La porte entrouverte d’un bureau permet de localiser un gardien désœuvré. Il ne parle que chinois mais, grâce à lui qui consent de bonne grâce à lâcher sa série télé, on peut, poussant au fond d’un bâtiment voisin, en savoir un peu plus en rencontrant une interlocutrice anglophone. Peu d’informations précises cependant, un vague plan et quand même la direction pour atteindre le Three Shadows Photography Art Center (http://www.threeshadows.cn/) pour lequel on était plus ou moins venu. […] ». Et puis, entre le manque de temps et le doute que ce genre de compte-rendu un peu littéral intéresse quiconque, j’ai laissé tomber. Rien donc sur sur les murs aux ondulations de briques apparentes du Centre dessiné par Ai Weiwei, rien non plus sur l’expo (« Mixed blood ») qui s’y tenait ni sur l’urbex facile en ressortant, immeubles abandonnés en attente de nouvelles destinations… Une autre fois peut-être, ici ou ailleurs ? Merci Alain, et bon retour !
Personnellement je regrette "le manque de temps" et "le doute" car je trouve ces propos bien aller avec le lieu - ce que tu en montres et ce qu'on peut en voir ailleurs - et dans ce vide nous faire participer activement à l'errance de la découverte d'un lieu peu ordinaire pour cette ville. Intercalé entre une photographie peu situable en soi et un dessin d'intérieur du lieu, cela aurait assuré une sorte de "continuum" dans le propos. Très très bel endroit... bien que tellement improbable.
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Quand même Patrick tu es dur avec le "petit peuple" ;-)
RépondreSupprimerIl faut aller fouiner un peu pour trouver le rapport entre le titre du billet et cette photographie - d'autant plus que tu ne donnes pas d'indices, genre vue globale de l'endroit. Il m'a fallu attendre aujourd'hui, reprendre mes esprits coutumiers, pour ayant accès à la source de tous nos "malheurs", Glouglou ! trouver enfin...
Sinon je trouve tes dessins donnant très souvent un très pertinent contrepoint aux photographies (et la peinture sur soie tu sais aussi faire :-) ?)
:-)
SupprimerInitialement, j’avais pensé mettre un texte qui devait commencer comme ceci : « Si, partant de l’Espace 798, on marche vers le Nord en longeant l’autoroute qui conduit à l’aéroport, on arrive à Caochongdi, le quartier populaire dans lequel il faut se confier au hasard pour trouver l’une ou l’autre des galeries qui s’y nichent depuis quelques années sous l’impulsion principale d’Ai Weiwei, son plus célèbre résident. Grands espaces, installations, mais personne à la Galerie Urs Meile (www.galerieursmeil.com) ce jour-là. La porte entrouverte d’un bureau permet de localiser un gardien désœuvré. Il ne parle que chinois mais, grâce à lui qui consent de bonne grâce à lâcher sa série télé, on peut, poussant au fond d’un bâtiment voisin, en savoir un peu plus en rencontrant une interlocutrice anglophone. Peu d’informations précises cependant, un vague plan et quand même la direction pour atteindre le Three Shadows Photography Art Center (http://www.threeshadows.cn/) pour lequel on était plus ou moins venu. […] ». Et puis, entre le manque de temps et le doute que ce genre de compte-rendu un peu littéral intéresse quiconque, j’ai laissé tomber. Rien donc sur sur les murs aux ondulations de briques apparentes du Centre dessiné par Ai Weiwei, rien non plus sur l’expo (« Mixed blood ») qui s’y tenait ni sur l’urbex facile en ressortant, immeubles abandonnés en attente de nouvelles destinations… Une autre fois peut-être, ici ou ailleurs ?
Merci Alain, et bon retour !
Personnellement je regrette "le manque de temps" et "le doute" car je trouve ces propos bien aller avec le lieu - ce que tu en montres et ce qu'on peut en voir ailleurs - et dans ce vide nous faire participer activement à l'errance de la découverte d'un lieu peu ordinaire pour cette ville.
SupprimerIntercalé entre une photographie peu situable en soi et un dessin d'intérieur du lieu, cela aurait assuré une sorte de "continuum" dans le propos.
Très très bel endroit... bien que tellement improbable.