Ce que je crois (mais je n'en crois pas mes yeux !) c'est que la "Suite Vénitienne" de Sophie C. que tu prolonges en 1983 par la Pensione de Stefani (que tu continues à appeler Casa) se transforme en 2013 en Locanda San Barnaba, son nouveau nom (on notera bien évidemment ;-) que la calle Traghetto (lieu de la Casa de Stefani) débouche, comment pourrait-il en être autrement, sur le Campo San Barnaba, ce qui justifie pleinement la nouvelle appellation du lieu. Le lecteur attentif notera au passage que si le cadrage de 1983 n'est pas celui de Sophie C., celui de 2013 est à l'identique celui de "Sophie Calle. Suite Vénitienne. Jean Beaudrillard. Please follow me" page 31. Un bon moment (du temps passé, pour moi - nous avions passé deux nuits à la Casa de Stefani, B. ma fille et moi lors de notre séjour en...) mais je ne suis pas sûr que mon propos aura convaincu grand monde...
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Ce que je crois (mais je n'en crois pas mes yeux !) c'est que la "Suite Vénitienne" de Sophie C. que tu prolonges en 1983 par la Pensione de Stefani (que tu continues à appeler Casa) se transforme en 2013 en Locanda San Barnaba, son nouveau nom (on notera bien évidemment ;-) que la calle Traghetto (lieu de la Casa de Stefani) débouche, comment pourrait-il en être autrement, sur le Campo San Barnaba, ce qui justifie pleinement la nouvelle appellation du lieu.
RépondreSupprimerLe lecteur attentif notera au passage que si le cadrage de 1983 n'est pas celui de Sophie C., celui de 2013 est à l'identique celui de "Sophie Calle. Suite Vénitienne. Jean Beaudrillard. Please follow me" page 31.
Un bon moment (du temps passé, pour moi - nous avions passé deux nuits à la Casa de Stefani, B. ma fille et moi lors de notre séjour en...) mais je ne suis pas sûr que mon propos aura convaincu grand monde...
Oui, Alain, j'avais déjà parlé ailleurs (http://glob-o-blog.blogspot.fr/2009/12/chambres-dhotel-20.html) de ces fantômes, comment ne pas y retourner ?
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