Cette photo m'en rappelle une autre dont étrangement je ne me souviens pas de l'auteur. Un rivage désert, le ciel est bas, la guimbarde est ancienne (la photographie aussi, que je verrais bien portugaise) et les passagers sont restés à l'intérieur et font je ne sais quoi, lire le journal, parler ou ne rien (se) dire). Cette photo, que tu dois connaître, signifie pour moi un dimanche triste à mourir, d'ennui, de temps maussade, de vacuité. Elle a été utilisée en couverture pour des ouvrages. Si je m'en souviens c'est, il y a longtemps de cela, j'ai littéralement vu cette scène aux alentours de Cascaïs (d'où l'idée portugaise)... il y avait cette voiture devant la mer et le vent qui faisait que personne ne mettait le nez dehors. Ta photographie me fait revenir tout ça à la fois. Une sorte de désolation et l'immensité inutile devant soi, et l'on reste là, fasciné et la pensée s'évade. C'est une très belle situation, très bien montrée.
Exactement cela, le vent, le ciel bas, pas vraiment envie de sortir ou alors rentrer très vite et attendre, en laissant flotter le regard sur les vagues qui n'en finissent pas de se répéter... Quant à la photo que tu mentionnes, elle ne m'évoque rien de précis pour l'instant, mais tout s'éclairera peut-être quand tu en auras retrouvé la trace ?
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Cette photo m'en rappelle une autre dont étrangement je ne me souviens pas de l'auteur. Un rivage désert, le ciel est bas, la guimbarde est ancienne (la photographie aussi, que je verrais bien portugaise) et les passagers sont restés à l'intérieur et font je ne sais quoi, lire le journal, parler ou ne rien (se) dire).
RépondreSupprimerCette photo, que tu dois connaître, signifie pour moi un dimanche triste à mourir, d'ennui, de temps maussade, de vacuité. Elle a été utilisée en couverture pour des ouvrages.
Si je m'en souviens c'est, il y a longtemps de cela, j'ai littéralement vu cette scène aux alentours de Cascaïs (d'où l'idée portugaise)... il y avait cette voiture devant la mer et le vent qui faisait que personne ne mettait le nez dehors.
Ta photographie me fait revenir tout ça à la fois. Une sorte de désolation et l'immensité inutile devant soi, et l'on reste là, fasciné et la pensée s'évade. C'est une très belle situation, très bien montrée.
Exactement cela, le vent, le ciel bas, pas vraiment envie de sortir ou alors rentrer très vite et attendre, en laissant flotter le regard sur les vagues qui n'en finissent pas de se répéter...
SupprimerQuant à la photo que tu mentionnes, elle ne m'évoque rien de précis pour l'instant, mais tout s'éclairera peut-être quand tu en auras retrouvé la trace ?