L'Eldorado que j'ai connu, ce n'était déjà plus l'ancien music-hall à l'italienne reconverti en "salle de l'élite du cinéma" et pas encore ce qui allait devenir le théatre de Bruno Boëglin. C'était juste un cinéma de quartier déjà désuet, où l'on m'emmenait parfois le jeudi, "en matinée". Plus tard, il m'est arrivé d'y retourner, retrouvant une salle en roue libre et un public toujours plus clairsemé entre l'orchestre et le premier balcon. Tristesse bien sûr lorsque l'Eldorado a été démoli, mais d'une salle comme celle-ci, que regrette-t-on vraiment ? L'Eldorado, c'était peut-être comme le Paris de Ferré, c'était peut-être surtout une idée…
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Et cette idée dessinée me touche beaucoup.
RépondreSupprimerMerci, Christian. Je devrais peut-être en rester aux dessins ? ;-)
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