Parana (Argentine),
17 novembre 2012
Aucune idée du nom de l'endroit il y a quinze ans. Juste le souvenir, étayé par la photo prise alors, que c'était un café à la modernité déjà patinée, grande salle claire donnant sur la Plaza de Mayo où il se prolongeait en une terrasse tranquille, tables blanches et fauteuils de tissu siglés Quilmés.
Aujourd'hui, c'est devenu le Flamingo Grand Bar, enclave chic de verre et de bois au coin de la place et d'un passage traversant vers Urquiza. Plus de terrasse, sans doute ne survivrait-elle pas au flot ininterrompu des promeneurs en ce samedi soir. De l'intérieur, on est aux premières loges pour observer la petite foule qui va et vient, ceux qui passent et ceux qui s'arrêtent, les groupes qui se font et se défont.
Quelques images à tout hasard. Au fond de l'une d'elles, l'éclair d'un flash pour une photo-miroir que je ne verrai jamais.
17 novembre 2012
Aucune idée du nom de l'endroit il y a quinze ans. Juste le souvenir, étayé par la photo prise alors, que c'était un café à la modernité déjà patinée, grande salle claire donnant sur la Plaza de Mayo où il se prolongeait en une terrasse tranquille, tables blanches et fauteuils de tissu siglés Quilmés.
Aujourd'hui, c'est devenu le Flamingo Grand Bar, enclave chic de verre et de bois au coin de la place et d'un passage traversant vers Urquiza. Plus de terrasse, sans doute ne survivrait-elle pas au flot ininterrompu des promeneurs en ce samedi soir. De l'intérieur, on est aux premières loges pour observer la petite foule qui va et vient, ceux qui passent et ceux qui s'arrêtent, les groupes qui se font et se défont.
Quelques images à tout hasard. Au fond de l'une d'elles, l'éclair d'un flash pour une photo-miroir que je ne verrai jamais.
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