Ok, Patrick, je comprends mieux ta remarque d'hier... La connexion à l'hôtel est tellement mauvaise que je n'avais pas été voir depuis le début de la semaine les dernières publications des blogs suivis. Je profite de l'heure matinale (et de la bande passante disponible à cette heure-ci) pour rattraper mon retard...
Amusant cette concomitance. Pour être honnête, j'avais pris ce "côté rue" lundi, et n'ai pu le poster que mardi... Sinon, on aurait pu m'accorder la primeur de l'inspiration ! ;-) Même si les formes respectives des photos sont indéniablement proches, je ne pense pas me tromper en disant toutefois que les propos sont différents.
En tout cas, je suis peu habitué à ces villes qui laissent voir autant de ciel entre les bâtiments qui bordent les rues.
Comment ne pas penser à Giorgio de Chirico : "Statues endormies. Cheminées rouges; nostalgies d'horizons inconnus. ... Et l'énigme de l'école, et la prison et la caserne;"
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Ok, Patrick, je comprends mieux ta remarque d'hier... La connexion à l'hôtel est tellement mauvaise que je n'avais pas été voir depuis le début de la semaine les dernières publications des blogs suivis. Je profite de l'heure matinale (et de la bande passante disponible à cette heure-ci) pour rattraper mon retard...
RépondreSupprimerAmusant cette concomitance. Pour être honnête, j'avais pris ce "côté rue" lundi, et n'ai pu le poster que mardi... Sinon, on aurait pu m'accorder la primeur de l'inspiration ! ;-) Même si les formes respectives des photos sont indéniablement proches, je ne pense pas me tromper en disant toutefois que les propos sont différents.
En tout cas, je suis peu habitué à ces villes qui laissent voir autant de ciel entre les bâtiments qui bordent les rues.
Comment ne pas penser à Giorgio de Chirico :
RépondreSupprimer"Statues endormies. Cheminées rouges; nostalgies d'horizons inconnus. ... Et l'énigme de l'école, et la prison et la caserne;"