Une trilogie de grand art, j'ai beaucoup de mal à trouver mes mots. Chaque prise est un tableau bien ordonné, une chorégraphie (note-book)? un jeu de scène? une étude ethnologique? le fond clair est le bienvenu.
La palissade blanche qui longe actuellement la cour carrée du Louvre est une bénédiction pour le photographe posé de l'autre côté de la rue (de l'Amiral de Coligny) !
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Quel étonnant rendu, froid, détaché. On sent la possibilité d'une chorégraphie dont les danseurs ne sauraient rien eux-même.
RépondreSupprimerUne trilogie de grand art, j'ai beaucoup de mal à trouver mes mots.
RépondreSupprimerChaque prise est un tableau bien ordonné, une chorégraphie (note-book)? un jeu de scène? une étude ethnologique? le fond clair est le bienvenu.
La palissade blanche qui longe actuellement la cour carrée du Louvre est une bénédiction pour le photographe posé de l'autre côté de la rue (de l'Amiral de Coligny) !
RépondreSupprimerDécor de théâtre, en effet, où des acteurs improvisés se croisent sous ton objectif. Très intéressant.
RépondreSupprimer