Là, Patrick, tu pousses le bouchon (je parle pétanque) un peu en dehors des limites. J'ai regardé cette image qui m'a intéressé par la juxtaposition, l'intersection des plans, par cette pluie qui me rappelait certaines photos faites au travers de pare-brises et les déformations plus ou moins révélatrices alors provoquées... et puis j'ai relu le titre... qui ne m'a rien dit (eh oui le manque de culture ou de connaissance en l'occurrence !), rien dit du tout... mais on est dans un cyber truc alors avec mes petits doigts j'ai tapé "Cheveux..." dans la case appropriée et j'ai obtenu une réponse satisfaisante, avec un lien pour pénétrer un peu plus la référence. Mais la photo était partie ailleurs, avec ce titre que je ne comprenais pas elle ne m'était plus accessible. Tant pis pour moi, pour elle aussi...
Je crois qu'à ce niveau ça devient trop compliqué pour moi... la photographie. Je le regrette sincèrement.
Comme souvent, cette photo attendait un titre pour se montrer. En pensant banalement "Il pleut", je me suis souvenu de l'existence d'un poème de Queneau éponyme et, le retrouvant, il m'a semblé que la dernière ligne (que j'avais bien sûr oubliée) collait bien à l'image, en particulier pour cette association incongrue entre "cheveux" et "désarçonnés", évocation que j'ai trouvée bien adaptée à ce cycliste chevauchant son vélo contre vent et pluie. Voilà, tu sais tout (dommage quand même si le titre empêche de regarder l'image pour ce qu'elle est...).
Hé, hé, je n'ai rien dit au sujet du titre. Et contrairement à ce que j'ai pu dire ailleurs sur les titres, celui-ci ne m'a pas gêné. Il me semblait même comme un complément (d'objet) à l'image. Cela me disait vaguement quelque chose comme une injonction de surréaliste (j'ai aussi sauté sur gogle pour en avoir le cœur net…) renforçant le coté sec et tranchant de l'image.
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Là, Patrick, tu pousses le bouchon (je parle pétanque) un peu en dehors des limites.
RépondreSupprimerJ'ai regardé cette image qui m'a intéressé par la juxtaposition, l'intersection des plans, par cette pluie qui me rappelait certaines photos faites au travers de pare-brises et les déformations plus ou moins révélatrices alors provoquées... et puis j'ai relu le titre... qui ne m'a rien dit (eh oui le manque de culture ou de connaissance en l'occurrence !), rien dit du tout... mais on est dans un cyber truc alors avec mes petits doigts j'ai tapé "Cheveux..." dans la case appropriée et j'ai obtenu une réponse satisfaisante, avec un lien pour pénétrer un peu plus la référence.
Mais la photo était partie ailleurs, avec ce titre que je ne comprenais pas elle ne m'était plus accessible. Tant pis pour moi, pour elle aussi...
Je crois qu'à ce niveau ça devient trop compliqué pour moi... la photographie. Je le regrette sincèrement.
Alain
Comme souvent, cette photo attendait un titre pour se montrer. En pensant banalement "Il pleut", je me suis souvenu de l'existence d'un poème de Queneau éponyme et, le retrouvant, il m'a semblé que la dernière ligne (que j'avais bien sûr oubliée) collait bien à l'image, en particulier pour cette association incongrue entre "cheveux" et "désarçonnés", évocation que j'ai trouvée bien adaptée à ce cycliste chevauchant son vélo contre vent et pluie. Voilà, tu sais tout (dommage quand même si le titre empêche de regarder l'image pour ce qu'elle est...).
RépondreSupprimerHé, hé, je n'ai rien dit au sujet du titre.
RépondreSupprimerEt contrairement à ce que j'ai pu dire ailleurs sur les titres, celui-ci ne m'a pas gêné. Il me semblait même comme un complément (d'objet) à l'image.
Cela me disait vaguement quelque chose comme une injonction de surréaliste (j'ai aussi sauté sur gogle pour en avoir le cœur net…) renforçant le coté sec et tranchant de l'image.
je te souhaite encore et encore des "photos qui attendent un titre" elles te feront voyager dans tes lectures avec bonheur.
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