Palenque, août 1983
Tu es malade. Tu as dû manger ou boire quelque chose qu'il ne fallait pas et, tout à l'heure, tu as juste eu le temps de dire que ça n'allait pas très bien avant de tomber dans les pommes au milieu du restaurant. Il y avait par chance un médecin dans la salle et, d'un coup de jeep, tu t'es retrouvée dans un dispensaire en quelques minutes. Il fait trop chaud, l'endroit n'est pas vraiment hospitalier (ou plutôt, il l'est trop…) et tu as hâte de rentrer à l'hôtel. La chambre n'y est guère plus fraîche mais c'est là que tu préfères te reposer. Les pilules qu'il faut attendent ton réveil sur la table de nuit. Je te regarde dormir. On restera quelques jours de plus que prévu.
Ah !
RépondreSupprimerAh ?
RépondreSupprimerOui parce que j'ai de la tendresse pour les dessinateurs et les dessins, peut-être plus que pour les photos et les photographes.
RépondreSupprimerMalgré les repentirs (Ah ces reprises en couleurs…) je sens un trait assez fluide et toujours un très bon texte qui complète l'image.
Ah, que demander de plus pour commencer une journée qui ne présageait rien de bon.
Merci Christian ! Pour la petite histoire, j'utilisais à l'époque ces crayons-gadget à une seule mine partagée en quatre couleurs, d'où une certaine part d'aléa (plus que de repentir...).
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