New York,
septembre 1986
Lorsqu'on a suivi jour après jour la correspondance new-yorkaise de Depardon dans les Libération de juillet 81 et qu'on s'est un temps fait un livre de chevet de son "Désert Américain", c'est tout naturellement qu'on regarde l'Amérique avec un filtre particulier. Des fois en toute conscience et des fois pas, témoin le long travelling de "New York, N.Y.", découvert des années après avoir pris depuis le même Roosevelt Island Tramway, en un aller-retour sans autre but que lui-même et juste après qu'il en ait tourné les images, ces photos d'un autre survol tranquille de Manhattan...
septembre 1986
Lorsqu'on a suivi jour après jour la correspondance new-yorkaise de Depardon dans les Libération de juillet 81 et qu'on s'est un temps fait un livre de chevet de son "Désert Américain", c'est tout naturellement qu'on regarde l'Amérique avec un filtre particulier. Des fois en toute conscience et des fois pas, témoin le long travelling de "New York, N.Y.", découvert des années après avoir pris depuis le même Roosevelt Island Tramway, en un aller-retour sans autre but que lui-même et juste après qu'il en ait tourné les images, ces photos d'un autre survol tranquille de Manhattan...
Avec ces 3 photos, mais aussi avec toutes celles que tu as faites à N.-Y., comment effectivement ne pas penser à Depardon ?
RépondreSupprimerIl est clair qu'il a participé à forger une part non négligeable de cette "américanité" qui se trouve dans beaucoup de nos clichés pris là-bas (et dont nous avons déjà tant parlé ici et là). Ou bien a-t-il, plus simplement, proposé ce regard bien avant tout le monde ? Question de temporalité ?
En tout cas, c'est toujours un bonheur de redécouvrir tes photos des États-Unis.
Moi qui vit à dans le Sud Ouest, à la campagne donc, je me pose la question sur d'autres sujets traités par RD.
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