Buenos Aires,
28 août 2010
Arrivé hier matin, il faisait gris sur Buenos Aires. Au cimetière de Recoleta, rien n'est fléché mais il est facile de trouver dans le labyrinthe d'un quadrillage continu de caveaux grands comme des maisons celui de la famille Duarte, bloc noir dans une ruelle serrée où des groupes se succèdent parce que c'est ici qu'Eva Peron est enterrée. Pas très loin, deux filles dessinent des décors plus anonymes et je repense à "La vie rêvée des anges", le film d'Erick Zonca que j'ai revu dans l'avion quelques heures auparavant. En sortant, un arbre gigantesque offre une ombre tentaculaire dont personne n'a encore besoin en ce début de printemps. Les amoureux qui s'embrassent, ce sera pour plus tard, sur Santa Fe ou ailleurs.
28 août 2010
Arrivé hier matin, il faisait gris sur Buenos Aires. Au cimetière de Recoleta, rien n'est fléché mais il est facile de trouver dans le labyrinthe d'un quadrillage continu de caveaux grands comme des maisons celui de la famille Duarte, bloc noir dans une ruelle serrée où des groupes se succèdent parce que c'est ici qu'Eva Peron est enterrée. Pas très loin, deux filles dessinent des décors plus anonymes et je repense à "La vie rêvée des anges", le film d'Erick Zonca que j'ai revu dans l'avion quelques heures auparavant. En sortant, un arbre gigantesque offre une ombre tentaculaire dont personne n'a encore besoin en ce début de printemps. Les amoureux qui s'embrassent, ce sera pour plus tard, sur Santa Fe ou ailleurs.
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