Ici, pas d'ambiguïté, il s'agit de graphisme(s), d'opposition de formes et de densités. L'humain est hors champ, donc soyons prudent sur une éventuelle signification, mais sans texte(s) la photographie reprend pleinement ses droits et contrarie "l'évaluation" guidée par lui quand il existe. Le 8 mai il s'agirait d'une complémentarité/symétrie, lumière/ombre, froid/chaleur et le 22 mai d'un puits de lumière qui n'ira pas plus loin que le miroir qui renseigne sur la rampe de parking. Lumière horizontale ou lumière verticale, je choisis l'horizontale, côté "sol" et j'ouvre la fenêtre... le 22 mai (et non mars) ne laisse que trop peu... d'espoir.
belle complémentarité, et si je fais un amalgame des deux commentaires précédents, ça donne: angles durs: lumière verticale, ombre, chaleur angles ronds:lumière horizontale sans espoir Un beau paradoxe, non ?
Je n'irais peut-être pas jusqu'à "sans espoir" pour la seconde, mais la vie est en effet nettement plus du côté de la première. Effet peut-être aussi de la dualité plongée/contre-plongée ?
Il arrive que des images de ce blog entrent dans la catégorie de la "street photography" et que des personnes y soient représentées sans que leur consentement ait été explicitement acquis. Si quelqu'un se trouve dans cette situation et souhaite que son image soit retirée, il suffit de m'en avertir et je le ferai immédiatement.
Ici, pas d'ambiguïté, il s'agit de graphisme(s), d'opposition de formes et de densités.
RépondreSupprimerL'humain est hors champ, donc soyons prudent sur une éventuelle signification, mais sans texte(s) la photographie reprend pleinement ses droits et contrarie "l'évaluation" guidée par lui quand il existe.
Le 8 mai il s'agirait d'une complémentarité/symétrie, lumière/ombre, froid/chaleur et le 22 mai d'un puits de lumière qui n'ira pas plus loin que le miroir qui renseigne sur la rampe de parking.
Lumière horizontale ou lumière verticale, je choisis l'horizontale, côté "sol" et j'ouvre la fenêtre... le 22 mai (et non mars) ne laisse que trop peu... d'espoir.
Bravo pour les angles durs de la première et les rondeurs de la seconde. Juste une ombre, mais un regard qui s'y arrête le transforme.
RépondreSupprimerNote-book
belle complémentarité, et si je fais un amalgame des deux commentaires précédents, ça donne:
RépondreSupprimerangles durs: lumière verticale, ombre, chaleur
angles ronds:lumière horizontale sans espoir
Un beau paradoxe, non ?
Je n'irais peut-être pas jusqu'à "sans espoir" pour la seconde, mais la vie est en effet nettement plus du côté de la première. Effet peut-être aussi de la dualité plongée/contre-plongée ?
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